Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/04/2014

en cours

Entre deux horizons montagneux la silhouette zébrée d'un homme, droite comme une tension, un i légèrement aplanie, un point de lumiere écrasée portant chapeau et botte sur terre, qu'on serrerait entre le pousse et l'index, a la manière des ondes tectonique qui soulèvent le paysage et le porte comme sur une vague de roche ou grouillent les insectes a la hache et aux fusils  qui rendraient l'outil obsolète, l'arme d'un guérisseur souvenir inconscient cherchant l'impression de l'insaississable incarné, sur la courbe parfaite de cette vallée aux pieds marin entre deux collines escarpées, la trace et le passage du souvenir  des morts et les larmes qu'ils font couler quand ils nous traverse et nous attendent comme des lampes pour nous éclairer du fond des nuits et nous sauver, nous réveiller par la souffrance a plus qu'elle; une forme bleue apparait, jeans et veste en cuirs le long de la rambarde d'autoroute la tête et les mains plongées dans désert, vaste epaisseur de verre, de loupe pour voir en soi-même, passer entre les rouleaux du laminoir le sel du ciel et de la terre, rattaché aux deux versants de la plaine par les secrets du vent. Un défilé de majorettes rouge et bleue cerné de cuivre et porté par des char de fleur en plâtre reconstitué, avance au rythme de la grosse caisse lâchant a intervalle régulier le cri bref et sourd de la contraction des intelligences anéanties et effondré dans la poussière sépia. Tout autour des motos en file indienne décrivaient de grand cercles sur un parking désert recouvert de sable; au portes du désert, les motards lancés les uns contre les autres tamisaient l'air brulant et soulevait des nuages de poussière qui s'élevaient comme une tour jusqu'au ciel; aucun spectateurs n'assistaient au défilé, sinon celui qui s'appuie sur la frontière, le regard cherchant le cercle parmi les décibels d'Harley; se tenant loin de la comète tourbillonnante de bruits mêlés, harmonieuse symphonies des invectives et des jurons, qu'éructe l'arche des falaises vomissant l'échos des moteurs coulant leur peigne d'acier dans la chevelure de pierre jusqu'au fond d'immuable ombre de la vallée; pelage de sable, arrête de roche, croute de pain gigantesque étendue sur des dizaine de kilomètre de la carcasse antédiluvienne de l'inimaginable charogne de l'idée reposant décomposée dans la poussière. Au loin la ville, ou ce qu'il en reste de la communion , l'outil de presse géant, la masse media bétonneuse armée des temps de cerveau disponible, l'énorme manipulation sous tension, cervellant de bon matin sa daube de la journée, façon resto u, bouffe infecte, pâté pour chien réchauffé; du moment qu'on cale les cerveau dans la projection du profits des privilégiées tout est dans l'ordre; un buraliste sort son tour niquet de carte postal rappelant l'existence d'un monde ou la communication signifiait encore la mise en rapport des éléments du roman; le service de presse est au commande, les consultant en com sont aux manette, il faut que ca crache du sang et que ça pette du gaz hilarant pour que les faux cul siégeant sur les plombs des circuits imprimé des rotatives puissent se faire croire qu'ils amplifient, développe la conscience de tout un chacun et la porte au limite du divin écran des homélie du vingt heure. C'est le temps de l'organisation de la lumière dans la conception du salut au fond des taupinières du néant. L'homme appuyé sur la frontière se recule et entre dans son champs de vision; les motards fêlé comme un essaim de mouche noire vrombissant du cœur infertile de l'outil de presse géant qu'est devenu la ville comme fabrique, usine a conscience. Enfin le cercle parait au-dessus des zones hiérarchique de la dévoration des vrai sentiments, et le cœur se tend a l'impact de la lumière d'une ardeur a vomir les mots creux de la ville media.

 

Et comme en toute meute, les dominants dominaient les parcelles de leur proprieté sans rien voir, ni reconnaitre de vive vue que leur position de corps brisé dans la création impliquait de poisse sur soi-même que chacun cherchera d'abord a défaire en dieu, cherchant la défaite de sa déveine dans son champs, ou quoi que ce soit qui fut meme au titre de simples restes, le reliquat délibérateur du désir éternel de vérité par lequel ils auraient eut l'occasion permanente de se reconnaitre, de s'éprouver éprouvés, certain d'eux-mêmes, trouvant en toute chose une occasion non de conquérir le monde ou de le modifier pour y faire sa place, mais eux-mêmes maillon la lumière dans les trames du désir de dieu d'être reconnu, collaborant a l'intuition supérieure du lien sacré de l'alliance échangée entre eux et formant le même lien qu'en eux-mêmes; anonyme, soulagé du bien qu'ils conçoivent trop souvent sans plus en ressentir toute l'idéalité que comporte une telle entente quand elle demeure coupable sans plus s'en scandalisé, et qu'entre frères ils s'assoit au pieds de l'arbres idéal dont il profitent davantage de la fraicheur de l'ombre que de l'ardeur de l'intention quand elle est puisé a la source; au pieds de l'arbre a palabres, la science les introduit, par l'encouragement et les reproches tiré des orientations fondamentales de la chair, non au clair roman de l'esprit d'un désir, liant la lumière a l'obscurité vaincue par la parole rayonnante de l'esprit, mais ou assis sur l'invisible effondré en leur esprit, ils souffrent sans le savoir la mort de l'esprit par l'affirmation des forces de la seule chair; assis sur le monde ils jugent d'un trone eternel, les détenus debout de la veille qui jour et nuit, attentif au moins inflexions de leur être entier, luttent sans décourager, pour l'implication de l'idéalité la plus parfaite de leur vie; cherchant dans les étoiles les signes du destin ils finissent par se détacher de tout et par se trouver lié a ce détachement comme a eux même; c'est qu'ils voient l'intériorité et l'extériorité dans leur absolue différence, les deux face de l'amour; l'invisible n'étant nullement cachée par le monde, mais incommensurable a la vision rattaché a tout par l'essentiel, attentifs aux leurs, soucieux de l'exploser, d'en dévoiler tous les détails pour rendre le plus complètement possible une impression juste de l'instrument accordé; et des harmoniques, le plus possible pour en comprendre la sève explorée, filtré, décomposé intérieurement quand l'idéal et le réel se correspondent infiniment dans l'angoisse, et ainsi recomposé en elle, délié du monde, mais non éparpillée en soi, au contraire recentré autour de la mort recueillie a la nouvelle sensibilité qui se rapporte autrement que la chair sans désir a l'ambiguïté partout présente dans le monde, et partout surmonté par l'esprit en sa réalité constatant de visu l'extériorité qu'il n'est pas, se structure autrement que par la dissolution, mais par la construction d'un ordre cohérent en surface qui masque la dissolution des caractères devenus anonymes; pire que la mort, la plus haute expression et conscience du désir rétablie l'équilibre de la perte du monde, en ouvrant l'idéal a habiter intérieurement; une troupe escalade par le soucis , la remontée a la source, non de ce que les autres en pensent, mais de ce que je suis condamner a penser de moi quand le jugement d'une acceptation totale du sacrifice de soi se pose comme condition de réalité de mon être devenue sensible a la présence d'un juge absolu ; tribunal de tous les frères qui ont la même connaissance de dieu, aussi vide ou paradoxale soit elle, et qui partagent un intérêt bien plus qu'intellectuel, infini, a la reconnaissance de l'infini et de son vécu soucieux en eux; l'apaisement du savoir par l'angoisse, provoque la recherche; et la certitude éternelle est au confluant, pile dans l'axe; au terre, sol, patrie, des êtres ayant pouvoir de servir de fondement premier a la parole en exprimant quelque chose de l'autre qui soit vrai, des mythes vivant; mais ce souci et cette inquietude qui pouvait pousser les gens a incarner une idée, les ont quittés définitivement, ils errent sans passion dans la passion; pour les arreter, il aurait fallu que chacun ait le temps de se réunir avec lui-même, de se fagoter a dieu, mais etant tous lié entre nous de dette mutelle, et cela non pas a terme, comme si on ne devait rien a personne d'etre né, comme si, macomme quand on sort le dimanche a la campagne, en pleine jouissance de l'oubli de soi qui mène a l'amour comme au meurtre; entre frères aurait circulé la lumière de la chair, son resplendissement rentré, et non l'éclatant mensonge des cultures qui n'en décousent pas avec la lumière, qui n'ont le temps pour aucune question, aucune interrogation suffisement grande pour englober la conclusion de toute une vie, n'ont du temps qu'une idée sans double face, trop honnete pour etre sans arriere pensée, mais se gargarisant du poids des d'effets qu'elle jette comme du vide au peuple égaré et hystérique, et lui appredn a parler de sorte qu'il croit les dominant nécessaires, justifé en leur oppression supposé ou réelle envers les freres, lui fait croit qu'une caste d'hommes seraient capable de donner la paix au peuple reunie, la tribu qui se proclame connaisseuse de l'humanité ou chacun peut la lire en soi-même et directement sur le visage des autres;  a l'humanité de tous les freres, de la douceur libannaise a la suspicion entre prédateur du même genre, la même paix, qui ne convient a aucun d'entre eux sans une reforme existentielle personnelle, un examen de soi aussi profond que sérieux, ou l'on doit mettre tout son courage, toute sa lucidité, tout son savoir qui est vivant en nous comme on voudrait qu'il soit pur éclat de l'éternelle clarté; le but par lequel tout s'organise rétrospectivement, comme l'éclat d'une autre lumière, aussi intelligible que tangible de la paix qui est l'herbe nourrissante de la culture moisie; une condition nécessaire a la discorde et a l'émeute qui lynche ceux qui le leur pardonne; au lieu de l'imposer comme un pacte  hétérodoxe, faire des lois de la nature humaine, celle de dieu, a au moins l'avantage d'idéaliser la perception interne et de rendre possible la présence réelle de la synthèse intériorisée et qui comme telle n'est absolument pas exprimé dans le monde, , mais dans sa ligne de fuite disparaissant dans la lumière qui accomplit crée et libère attaché le lien absolu a l'absolu (et c'est peut le plus difficile, formuler l'appréhension joyeuse du paradoxe par la syntaxe des pôles émotifs de la commotion charnelle de la souffrance, se dépouillant de la signification qui l'accable et ne lui permet pas de s'envoler) qu'est la conscience dont l'idéal de la connaissance est la félicité et non quelques bréviaire de lois tacite éternellement valable entre les hommes, une dette d'humanité envers la parole devenue, au prix du trouble banalisé, ignorant les frontières que la personnalité franchit quand elle se trouble et passe d'une qualité a l'autre; ou sont les sources qui alimente le réel? ou sont les batteries de rêves manquant qui fonctionnent a plein régime quand on les cherche, et qu'on se trouble du vide, qu'on fait plus qu'éprouver le vide, mais qu'on le redouble, qu'on reconnait ce qu'on est immédiatement éternellement; les rapts les nuits de pleine urne  souvent de lune durant des lieux et des lieux, adroit durant la nuit, de jour en jour discrète secrétant des concentrations d'atmosphères propice aux enfoncement des échardes dans la chair, confiné dans l'absolu d'une famille éternelle, joyeux d'en être semblablement distordu.

19/04/2014

Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur. (en cours)

je disais dans mon angoisse: Tous les hommes sont trompeurs

La détresse et l'angoisse m'atteignent: Tes commandements font mes délices.

 

La révélation buttait aux pôles détonnant et distors du double fond de l'angoisse ou tous les animaux de la foret aime a contempler leur image, se rassurer sur leur être par l'onde qui déconstruit ce qu'elle dévoile, semble leur faire perdre la tête, n'obéir qu'a une logique devenue folle dans la savane qui rend insaisissable le révélé, inaccessible l'etre auquel on s'adresse indirectement en parlant, objet d'une certitude éternel et d'un amour que rien ne dément sans une lâcheté du cœur une embrouille idéale avec la chaire feuilletant ses mangas a la recherche de super héros disparue du fort intérieur; l'indirecte est la chose même sacrée, l'être qu'on a pas crée, pas imaginé, pas anticipé, pas plus qu'on aurait pu prévoir les pélicans et les hippopotames avant de les rencontrer déjà créés; parler a un homme implique le lien religieux de la mort a soi-même qui pose la transparence du lien d'amour sur toute chose, pour peu que l'on aille au bout du désespoir et de l'angoisse; ignorance, transparence, conscience, sont des qualités de l'intégrité de l'acte religieux le plus décisif et le plus simple; c'est la banalité du Bien, son abaissement dans l'acte de langage le plus simple; la position indirecte du sujet, c'est la sacralisation de l'être, la transparente mort a soi est l'amour du prochain qui n'apparait qu'a cette occasion, et c'est la tambouille de l'angoisse, de nous mettre en rapport avec ce qu'on a pas soi-même posé; alors commence le rapport indirect, la vrai communication, l'esprit et la vérité, le religieux l'être l'amour; l'angoisse ne se supprime pourtant pas elle-même complètement? si, chaque fois qu'on se laisse porter par elle jusqu'à l'être dont elle révèle la valeur éternelle indirectement en le reflétant dans le miroir du prochain, être sacré qu'on n'a pas soi-même posé; chaque fois qu'on se laisse porté par ses ailes de cuirs jusqu'au bout de la nuit et que la lumière de la vérité filtre par l'ampoule de chaire désinhibée; chaque fois que son rouleau roule jusqu'au rapport ou l'être est le miracle incompréhensible de l'aimé auquel on s'accorde par la parole qui résonne en nous comme en un instrument inutile; tous les moyens de faire la vérité par soi-même se développent et se brise intérieurement pour établir que le non-rapport est le rapport; de l'angoisse a la paix inconditionnelle, l'inquiétude du salut donne sa grammaire a la pate insignifiante de la chaire ébranlée par l'effondrement du péché qui suit la courbe de manque du désir dans les profondeur éthéré ou le céleste apparait a travers la mort a soi-même; c'est la note fantôme , la retenue in mente qui surgit de sa propre contradiction en nous comme l'ombre chinoise des êtres aimés a travers la peau du tambour de chair tendu entre les pôles de la trajectoire; l'angoisse des lumières froissées se détend jusqu'à la paix, sculpte intérieurement une grandeur qui n'est pas terrestre, qui n'a rien a voir avec le monde, mais qui est comme un poumon céleste ne respirant qu'une fois trouvé l'église invisible de tous les frères qui sont la lumière de la vérité même.

18/04/2014

en cours

Mais comment savons nous que nous partageons le même modèle de l'homme sain si nous ne nous réfléchissons pas nous même dans un modèle suffisamment crevé de l'intérieur pour laisser filtrer la lumière d'ailleurs; sans modèle il n'y a a tout jamais aucune chance pour que notre reflexion soit complete, aussi profonde qu'etendue en ses objets, une science de l'etre-vrai appartenant a un etre sensible a l'être-vrai rend christ si proche de nous que notre redoublement et le sien se confondent quand toutes représentations objectives écartées, le désir redevient ce sel brulant de la parfaite intensité pathétique du redoublement; le modèle de la détonnation intérieure qui laisse exploser la lumiere de la vérité en vie est un modèle unique de marque dépossée que nous pensons etre le même en chacun quoiqu'on ne puisse le connaitre contemporain dans les faits qu'en luttant contre la plus extreme angoisse, celle qui emporte tout, laissant lire, au confluent de la synthese des deux ordres qui se croisent se mêlent ou se retirent l'un de l'autre, comment nous sommes quand nous savons que nous partageons le même modèle de l'homme saint qui n'est qu'un incognito dans la bordélique manifestation sociale de soi; une sensibilité au vrai de l'être, du vraiment sensible en nous sous les variations plastique de surface qu'élime ou affute et aiguise les idées en suivant la pente naturelle de la souffrance qui s'abreuve de lumière comme une terre aride qui n'a jamais connu le jour soupire d'une légère brise des le premiers nuage en vue,  ou un christ peu être a passé sans laisser de traces si proche de nous; le modèle de la détonnation intérieure qui laisse exploser la lumiere dans la vie est un modèle unique de marque dépossée que nous pensons etre le même en chacun quoiqu'on ne puisse le connaitre contemporain dans les faits qu'en luttant contre la plus extreme angoisse, celle qui emporte tout, laissant lire, au confluent de la synthese des deux ordres qui se croisent, la contradiction ou les faits ont une double ententes qui peuvent etre ramenés a la révélation d'un pouvoir divin de vouloir que l'homme soit; la lumière ne vient qu'après la forme humaine décidée en dieu. Mais la remontée jusqu'à l'image du créateur n'est pas qu'une question esthétique. Elle englobe et répond sur tout les plans a la question fondamentale, inquiète qui n'est que l'autre face du désir de suicide, de quel être suis-je l'image, pour qu'elle raison est elle décidée, crée cette nature humaine réceptacle de la révélation, miroir de dieu? parce que si elle était éternelle directement proportionnel a l'éternité, elle ne serait pas si sublime.

Modèle dont on dit qu'il est la condition de la véritable humanité, de tous les temps ou l'innocence souffre de la culpabilité dont elle ne sait rien.

Modèle dont on dit qu'il est la condition de la véritable humanité, de tous les temps ou l'innocence souffrant de la culpabilités des autres qu'elle ne perçoit pas comme tel incarne ce point de départ certain dans la deviance des premiers atomes de l'ironie, mais ici transposé dans la chair sous la forme d'une nouvelle sensibilité; d'une sensibilité a l'être-vrai de l'image de dieu; de sorte que même en l'abence d'un savoir de la nature humaine, même en l'absence d'un quelconque savoir sur dieu, en parfaite connaissance de notre ignorance donc, nous pouvons être parfait comme le père est parfait, puisque le rapport indirecte de la communication véritable qui produit de l'existence indique une forme dans l'ampleur du devoilement est infini et nous implique a titre de conscience éternelle dévoilée dans le déroulement du temps ....et semble convenir parfaitement au desir comblé, par le modèle de la plénitude du temps.