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08/04/2014

Celui qui aime sa femme s'aime lui-même.

 Voit par le boyau lumineux du souffle étoilé les époux réunis au centre de la trachée de l'univers, liée par la voie ineffable qui lit dans les viscères des nuées l'intestin de ta naissance depuis le terme de ta mort première jusqu'a la légitime union avec l'éternité qui l'a oublié et se ressouvient du vivant a jamais rencontré; les ronces et les pierres saillantes qui encombraient le chemin vers l'aimé ne sont plus; et voit, plus loin encore, le gouffre nerveux de l'illumination ou la lumière est semblable a la bouche en feu du cratère de l'inquiétude envolée, c'est de cette lave que tu viens  et c'est a ce puits que tu dois abreuver l'alchimique nouaison des fruits d'amour et d'union révélée; puis retourne toi et regarde  une derniere fois, l'autre source de ténèbre, l'astre grouillant de foule et crépitant de solides flammes d'illusions.... retire en ton coeur puisque ce feu t'ensserre de larmes démoniaques et trompeuses comme une sueur sans flamme....c'est a ce puits sans profondeur, cette image toute en surface qu'on abreuve les troupeaux désormais, qu'on scelle les esclaves comme des vaux chevauchés par la mort courronnée et porté en triomphe édificateur; vois le labeur de la peur lapant a ce cloaque immonde l'apparence insituable du bonheur hasardeux que le malaise persistant des nouveaux nés sortant de l'ombre, farde de pales et lointaines lueurs rougeoyantes plus inconsistantes que leurs ténèbres, c'est leur mauvaise langue qui leur donne un beau teint de chair et retournent sept fois dans leur coeur les mauvaises pensées du venin qui recouvre leurs souillures noires de la suie des tombes, ils ont l'air presque vivants. Ils sont mort pourtant, et leurs faibles étincelles de conscience et de joie décroît de jour en jour, jette ses premiers feux avec les derniers aux pitreries préludant les grincements de dents, ils ont briser toutes les lois et se croient libre comme des miroir vide de reflets trop inquiétant qui ne se reconnaissent plus ; entend l'ignoble verbe entre leur lévres devenir insignifiant : je t'aime... ils en ont tapissé leur antre de tout ce qui ressemble a leur incohérente indécision, ils en ont peuplé le néant de chimères qu'ils façonnent pour se faire peur et eux-même se rassurer, et s'éteindre inconscient dans l'ineffable; ils se croient innocent parce qu'ils ont cesser de trembler pour l'aimé, ils rebroussent chemin dans la lumière, tournent le dos a la révélation, et baisent avec le néant. Ils voudraient n'avoir jamais exister, mais ils n'ont pas le courage de le regretter vraiment. Voit maintenant celui qui perce la foule des somnolents, comme il est different, comme il peine a progresser a contre courant? ne dirait on pas qu'il porte un terrible poids? Ce sont les ténèbres  de l'avortement et les légions d'ames en fausse couche qui se referment derriere lui, en se séparant de la clarté lorsqu'il sourit a l'aimé, a l'extraordinaire rencontre révélée en luttant contre lui-même, en passant a travers la mort et qui transpercé recoit le baume de la disparition du temps en tes yeux sidérés; ce prochain visage sous le voile levé, en qui il met toute sa confiance lui assure une lisibilité de la fable inéluctable mise en lampe de conscience pour l'éternité au terme de la grossesse des mondes et des chutes de la cordée qui l'emporte loin du cloaque des siècles; voit son visage limpide comme une ame, jaillir de l'immonde, sculpté par la nervosité de l'illumination, ses traits sont des écritures de choix, qui l'ont précisé et affermit sur la page vierge et ouverte de tes caresses; observe sa ferme douceur inébranlable, elle fait trembler ton livre écrit a la va vite, voit comme il croit en toi plus que toi-même, voit comme l'encre du plaisir n'est pas une main ferme; le texte de l'instant n'est que confusion et rougeur sur le visage honteux, dont le texte n'est jamais aussi limpide que celui de cadre ferme du choix qui offre l'esprit des lumières a la pure transparence du coeur retourné aux cieux; voit, il ouvre les paumes, il est vainqueur pour l'éternité,  du ciel tombent les colonnes du temple stigmtisé et sa chair est lumineuse comme une armure resplendissante de l'aura singulier de la pure grace intérieure propre a la maturité de ceux qui enfin savent ce qu'ils aiment éternellement.

07/04/2014

Le souffle de l'homme est une lampe de l'Éternel; Il pénètre jusqu'au fond des entrailles.(en cours)

Je m'endors et me réveil couché parmi les lions, le ciel autour de moi est trop visible pour être vrai, insuffisamment transparent pour être réellement poreux au poids de mon trajet d'épaisseur; c'est le monde foule, qui brille sans relief et sans éclat, luit lissé, sans chaleur comme une continuité du rêve somnolant; sur les gradins, la foule hurle, trépigne et vomit des flammes qui n'ont ni l'ardeur ni le souffle de l'explosion claire du désir immaculé ni sa lumière, mais qui sont des relents de vin dans la lumière artificielle du désespoir maquillé; tous les yeux sont liés au scandale et gravitent comme autour du centre spirituel du règne indécis des hésitants angoissés et fouette transversalmenent comme une bête apeuré, par désir d'être crucifié et celui d'assister sereinement au spectacle effroyable de l'anéantissement des témoins  transformés en instruments inutiles; tout est trivial et glauque parmi les hommes chancelant, leur intelligence n'est pas a la mesure du coeur, leur connaissance s'est déportée sur les terree asphyxiées de la sensualité tenace et fragile comme un manque de cohésion interne; des étoiles ne reste que l'absence du spectre qui enroule ses couleurs  dans sa lueur  de revenant effrayant au fond de leur silence crevé; le ciel passe déglutit comme une main qui caresse  l'ame et tourne les pages excrementielles que digére le temps; du moins c'est ce qui se dit, ce qui se répand dans le laxatif spirituel; et ceux qui sont encore conscient supplient a genoux qu'on les plongent dans le sommeil, que l'évanouissement tombe du mur de la confusion, et qu'il les emporte ravie aux caves obscures du styx et de l'indifférence ou la disparition de soi est transit de froide insignifiance, ou il n'y a plus rien pas même un reste d'intelligence de ce qui est; c'est une prière du vacarme : Notre tombe des cieux, inaccessible paix rend nous l'inexistence première! Accorde nous ton néant! Efface le souvenir de la beauté, nous sommes de la race du néant! Donne nous notre fin quotidiennement ajournée, donne nous la force de détruire  jusqu'a la haine de toute ressurcetion, et délivre nous de la croyance du vrai! Beaucoup tombent évanoui, ce sont les exaucés de l'indifférence décorative; les autres épars sur les degrés de l'amphithéâtre se contorsionnent comme des pistons branlant qui voudraient se briser la tête contre l'onde puissante du vide oscillant entre le mal et le bien; ce sont les réprouvés du monde qui n'ont pas atteins le pur degrés du mensonge, qui n'ont pas encore chassé toute la puissance surnaturelle du coeur pour se multiplier, se vauter dans la fange de l'irresponsabilité et de l'inconséquence, ce sont les traites de l'insignifiance; en eux brûle encore la volonté de croire que leur caractère ne peut se dissoudre dans l'acide vinaigre de la connaissance, mais leur resistance est aveugle car le concept n'est plus; il au centre justement, attaché solidement au poliri, ou je la vois maintenant, le venin rance des janissaires violeurs de lumière ruisselle de ses boucles en cascades, beau, comme la femme qui vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qui pénétra la lumière de la promesse qui vainc le temps d'un coup de lance, du poids erotique de sa rétractation en pièces détachées de la transaction illegitime et sans verbe, du ténébreux soi-même; sa poitrine découverte absorbe l'immense fleuve des jours limpide contaminé de pathétique boue, qui nous recouvre aujourd'hui encore et comme elle, nous perd pour le mystère; l'intelligence de l'amour ne devrait-elle pas luire en nous comme une étoile en plein mystère? L'être en intelligence de soi est une parure de marque, d'élection, de choix et de pris; l'intelligence aussi devrait être en nous semblable a la naissance d'une étoile, a la naissance de la lumière qui nous transporte par l'univers jusqu'au centre de la perspective ou la mort noue tout et tisse la densité de l'apesanteur d'aimer dans la trame du risque trépassé. Prés de l'arbre la femme recracha les pépins de son intelligence qui s'ouvrait en rendant incompréhensible le paradoxe de la passion. Le ciel germa assombrit d'un lourd sous-entendu pesant son poids de monnaie comme un orage de durs présages trop menacants, mais quand elle s'endormit, je me réveillais couché parmi les lions dans mon élément ennemi au milieu de la foule réclamant la disparition de l'insupportable vie.

05/04/2014

Laisse là ton offrande devant l'autel, et va d'abord te réconcilier avec ton frère.

On s'est parlé face a face, vide vitre  sales d'abat jour et de bonheur essuyant les passagers du fond des yeux, le fétu d'aiguilles pétillantes des lumières, la gerbe fenaison de perspective dialoguée du cardiaque revreberant rythme métaphysique des joies et des peurs extrêmes, de l'unité d'axe, jouant contre le synapse gestionnaire et tremblant de la coagulation irrésolue des apparentes légèretés du souffle qui opacifie le regard laisse fossiliser la lave de tes yeux et nous pinçe le chignon jusqu'au sourire grimaçant mais bien tiré en arrière cette fois, de l'embarras des carcasses confuse et desossées, de partout sillonné d'iceberg gros comme des molécules de temps a la dérive. A la volée des semences rectifiantes, l'obéie existence assurée du sextant passe outre l'indicible indigo du versant inconnu et retrouve de nuit, incognito, le teint moire du miroir réfléchie, la sensible force de déplacer les apparences contraires de l'histoire pathétique a quoi tout se réduit comme au rien vaniteux du pari tenu. Craque ampoule du ciel tes crocs plus blancs que des voies secrètes, et mord de l'assurance ressuscité les os figés des impuissant, des sans forces, puisqu'il heurtent la limitent; ouvre leur le corps mort et tendue comme une pierre moins solide que l'espoir; a dieu plaise ma confiance pour danser et coudre les crashs d'improbables gestes avortés les remontés du plus loin qu'eux même en d'autres sources de signification, la silencieuse nappe d'indicible paix, secouée des vagues ressorts d'idéal débris errant parmi tant de raisons démontées. L'inversion de la mer noyée balance ces milles bras de broussaille en feu au sommet brûlant du désir ; l'incendie sexuel de la chair en dispersion ouvre aux calque isomorphique du diapason relevant les empruntes digitale de l'imitation qui marque et remarque a l'infini sa propre inscription dans ta bouche et tes yeux, caressant la liberté de son intérêt infini pour son empreinte qui brûle mais ne se consume pas de rester insaississablement tenu en respect et sauvage eternellement. Mais la chaire ne peut s'asseoir en hermeneute clarté du bien qui recouvre la vie. Sa vue tamise le grain aveugle aux forges de l'étoupe et l'esprit devient sensible aux étapes physique de sa félicité depuis l'origine secrète de la pensée silencieuse et sans terme jusqu'à l'arrêt de mort ambiguë selon l'orientation des ombres et la position du radiant intérieure; mais s'il empoigne de joie la souffrance, la couvre jusqu'à la faire entièrement disparaître, la lutte contre le poids mort du temps n'est pas vaine ankylose mais victoire du vent courant des veines.