Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

07/01/2015

Note

35-photographies-lourdes-de-sens-qui-vous-ouvriront-les-yeux-sur-le-monde35.jpg

La technique elle ne se la raconte pas (la subjectivité sans histoire, industrielle).

 

index.jpg

Le regard des autres sur nous est loin d’être homogène, c'est un miroir déformant ou l’universalité des points de vues rejoignent le singulier, c'est a dire le manque ; c'est un peut comme si tous les points de vue possible d'une même langue s’étalaient devant nous, s'aligniaient et siégeaient comme a un tribunal ; pour certains on n'est qu'un clown burlesques, pire un triste sire, pour d'autre on incarne le mystère qui suscite le respect ou la défiance ; pour d'autre encore, un raté, un ange sublime mais au faciès trop empesée du camionneurs, un dandys presque s'il n'y avait tel lourdeurs sur tel point de caractère... etc... etc... c'est ainsi que la présence de l'autre capte l’étonnement solipsiste angoissant et indéterminé ; la présence des autres est un moyen de tramer l'eteonnement de la réflexion dans la relecture de la pensée ; de le décliner non en projetant directement l'existence de l'autre, mais en modulant notre propre angoisse; ce que chacun recelé en lui vis a vis de l'autre, n'est ni plus ni moins que le droit d'existence selon la reconnaissance de soi que chaque parties démêlent pour elle-même devant dieu, et attend de la justice de l'accord (tombé d'ou?) ; un amour terrestre te retiens d'aimer dieu ? Serais-tu frigide spirituellement ? Pourquoi s'exercer a la dialectique des années durant, pourquoi danser jusqu'à se briser les reins, si ce n'est pour approcher l'autre en frère, sans autre partialité que l'audacieuse prudence mêlant courageusement distance et proximité, comme s'il s'agissait de simples caractères d'imprimeries a enchâsser dans les réelles distances entre nous qui sont variable, voire volatilisées et pixelisées que met la réflexion par amour dans les plis de l’être, pour défroisser, celui qu'elle aborde comme un être complet, formé d'une contradiction interne essentielle qui met au supplice et au chaos, toute la pensée et ce qu'elle n'est pas.

 

Eight_Elvises.jpg

Chacun se souvient de la primauté de la question ontologique dans être et temps et le recours a la différence ontique comme privilège discriminant les deux grands ensembles de la pensée qui se forme quand elle se divise en elle-même pour se rapporter a elle-même suivant la circonspection de la préoccupation qui est d'avant l'occupation, la place mal occupée de l’être; coupé de lui par autres chose, plein de choses, un plein d'autre chose que de ce dont il est soucis par la procrastination de la pensée  desirante (et qui reprend sous une autre formes les prémisses de la logique chez Hegel (quantité/qualité), devenir, synthèse permanente d’être et de néant); et bien ce que l'on conteste c'est qu'une chose pareille puisse se produire a partir d'un événement impersonnel de l’être ; et ce n'est pas moi, jerome ruffin, qui le conteste, mais toute la langue qui le dit ; et ils viennent, eux ces corps et ces visages, apporter autant de réponses que de lumière transfigurées dans l’éther du mystère qui se creuse ; c'est profond et silencieux la dedans, comme dans une tombe ; semblable a celle qu'on se creuse en apprenant a parler ; c'est a dire a penser et a sentir comme on le peut des qu'on remet entre les mains d'un autre la définition de tout ce que l'on est ; les masques les plus terribles, peut-être les plus nombreux sont ceux du commun affaissement des érection; le regard a terre, même quand ils regardent ou croit regarder le ciel; mais entre eux, d'autres viennent comme des prêtres insouciant, incarnant l’espérance, porteurs d'offrandes ; des enfants insouciants courent devant, c'est tout le rire de leurs pas que tu entendras dans l’éternité ; leurs chairs sont panthéistes a l'exclusion et au rebours du reste de l'univers qui n'est pas voué a la répétition, comme le chewing-gum interstellaire des visages acide sur la face du trocadero l'annonce météorologiquement, aux corps évanescents qui le traversent sans penser a la grâce qui leur est faite a chaque instant, de pouvoir être auprès du premier et seul glorieux qui se sacrifia pour que nous vivions de son sang.

 

Campbells_Soup_Cans_MOMA.jpg

La place change alors d'aspects, ce n'est plus l’élément solide de mes représentations inconscientes mais la connaissance qui reprend du terrain, et double au col l'ignorance sur son propre terrain ; la coupole se soulève comme un couvercle de friteuse et les murs gris s'effondrent avec leur colonnes maillant l'iris d'un œil géant qui reste là a m'observer a me le geler sous un ciel froid d’éclipse ; puis, l'instant d’après je suis l’électron libre, l’élément indépendant, l’incontrôlable dans la matière céleste défroissée ; j'aime cette heure chaude de fin d’après-midi, quand j'ai l'impression de baigner comme un piston dans l'huile du moteur premier et que tout est dans l'ordre de sa volonté, quand j'ai plus rien a me reprocher, quand je suis monter jusqu'au tribunal avec job a mes coté et qu'avec lui j'ai apprit a dire, et donc aussi a faire, l’Évidement dernier de la conscience au confins de la culpabilité et des douceurs absolue du repos.

 

C'est une fin d’après-midi tranquille l'impossible monde est la a moitié couvert de nul éclat ; respirant comme je respire, a l’écart plongé tout entier dans le livre impossible d'un ciel de primitivité a venir.

06/01/2015

Une impossibilité d'exister / Dont j'ai avorté en vivant

 

f516.highres.png

Mais si on ne peut pas sauver les formes finies de l'infini dans la société il n'y a plus de civilisation, mariage et pub jusqu'à tard dans la nuit, quel sens pourrait encore y donner l'esprit ? S'il fuit la prison (et la fuir ou d'ailleurs, sinon dans la fiction) comment nommera t-il son pouvoir le plus propre qui est de subvertir l'affliction en joie ? l'esprit pour lequel elle a un sens ; le péché n'est pas un handicap physique, mais une sorte d'obstacle épistémologique, qui est en même temps la première formation de la conscience, la réflexion, qui décolle la pensée d’elle-même et procède comme chez les pythagoriciens a une extase noétique, que la modernité appellera « intention », mais qui a l'origine était conçu comme un délire contenant la proportion des chiffres, la diagonale du carré, et tout le reste, le domaine des volumes et des quantités et des proportions; et l'histoire de la philosophie commence précisément au moment ou un homme se rend compte que toute sa vie il assistera au spectacle de la lente décomposition de la pensée ou terre et ciel étaient liés par des vivants ; il n'a pas fuit, bien au contraire, il a bu sagement tout le verre pourri de la déconfiture ; il chasse loin de lui ceux qui lui proposent l'exil, pour lui, l'infini est fini et réciproquement, et la suite des événements peut l’être aussi; l'esprit est soit la transfiguration des geôles nécessaire a la transfiguration de la pulsion cernée de réflexions; soit l'esprit n'est pas; et la question meurt avec lui, meurt par manque de définition, qui interroge quelque chose plutôt que rien, et ainsi ne cesse de tarauder son étonnement qui sans l'impossible a réaliser, s’étiole et s’éteint abondamment dans sa propre lucidité devenue marais sans fond; mais s'il est alors question de savoir s'il y aura de l'eau chaude pour son bain dans l’éternité , il s'effondre, content de lui, dans son fauteuil, et répond que si l'esprit est, cette question est dénuée de sens, mais qu'on prendra certainement le bouillon ensemble; or, dans nos sociétés ou toutes les unités de mesures pullulent comme les experts, aussi vite gaulés qu'une chiées de souries sous une branlé de cèpes, poussant au rythme encore plus rapide que la construction d'un réseau financier lancé sur la voie ferrée de la légalisation abusive des malversations programmées, plus rapide qu'un train a grand vitesse lancé d'agence de notation en performance bancaires normatives absolument, et lancé au ciel comme les critères de l'humanité, les table de la loi tombée du ciel, au caractères tellement ostentatoires qu'il ne peuvent être les attributs que d'un clown dieu, l'objet d'une farce caractérisée, certifiés sans paradoxe (un tient vaut mieux que deux tu l'auras est la devise des banques de prêt), par tous les pontes de l'extorsion de fonds du salarié sans base, qui ne se rend plus bien compte de la difficulté extrême et comme dernière, de la pensée et de la réflexion pour admettre ce que la raison ne peut pas entendre ; on ne se rend pas bien compte de la difficulté (et du changement d’atmosphère ou les concepts peuvent s'appliquer) a une époque ou règne la lassitude du zapping et ou tout le monde recherche une nouvelle ivresse capable précisément de brouiller a nouveau les barreaux de la geôles ( et ceux de notre époque sont vraiment pas mal foutus du tout s'il s’agit d'une absence de sens qui apparaît comme une trop grande capacité de choix) et des les transformer en poissons ; l'esprit désormais ne peut plus être vendu autrement que sous la forme d'une nouvelle drogue attachée au pathos particulièrement sobre et probe du paradoxe, dans un monde ou l'ontologie est réglée par l'audimat et les faux rires de l’applaudimètre, croire a la mort des signifiants mort-né, et non a leur résurrection est vraiment trop banal en effet pour relever de l'esprit de l’Être qui peut tout; sweepgen évoluait dans un monde faux, de studio en studio, les doigts sur la balance, il avait quand a lui tellement de mal a admettre qu'il était lui-même, au-delà de toutes ces aiguilles sociales, un être-vrai absolument; il lui était tellement difficile d'y croire, qu'il y voyait une tache suffisante pour toute sa vie qu'il offrait a toutes les tentations précisément pour se fortifier en grâce.

 

11732109_1.jpg

  Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d'Aser. Elle était d'un âge très avancé. Elle n'avait vécu que 7 ans avec son mari après son mariage.
Restée veuve et âgée de 84 ans, elle ne quittait pas le temple; elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et dans la prière.

 

985970151.png