Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/01/2015

Hôte demeure

 

Schloss-Vogelod-31322_1.jpg

D'autres couloirs menaient vers d'autres décors ; les plus historiquement emmêles étaient plus sombre que les cercueils de luminosité a portée psychologique des craquelures du temps émietté sur le damas rouge et velouté du péché ; l'onde noire de leur amplitude souveraine glissait sur le sol pavé du corridors avec la douceur d'une peau de fruit sans fin et plein d’âme ; l’écume d’ébène léchait une perlée de diamant, qu'elle emportait avec elle en se retirant ; et ne laissait que la grandeur vide, la proportion a peine effleurée d'une trame au ressort infini, et a longueur d'onde plus imprévisible que le monde ; cette vague de stupeur s'engouffrait avec fracas comme un jet d'encre jusqu'au fond de l’être, puis se retirait de son corps de pierre comme une aiguille planté dans un râle d'agonie; la clameur terrible du deuil a inventer, nous rappelait que nous savions plus mourir ; que l'histoire de la mort restait a inventer ; mais mon couloir préféré dans les demeures du châteaux, était la chambre de l'enfant mort-né, qu'emplissait l'air de son dernier souffle, des plus voluptueuses sonorités de cave imprégnant de poussière soulevé par les sandales, les teintures médiévales et les radiographies de tapis ; relevée, la lampe courte sur la table basse, brodé son corps feronné en brassant dans les livres, les verres et les cendriers, qu'avortait quelques beaux meubles tout rapiécés de gravures graisseuses, sans couverture, sans titre, qui semblaient revenir a elle plus la pièce s’enfonçait dans la nuit, comme après avoir frapper les trois coup sur les portes de l’au-delà ; les livres surtout semblaient être devenu des étoiles de papier, des fleur refermée et nichant dans la lumière, sous l'abat-jour mauve violé ; cosmides du mutisme, antenne parabolique de prédilection, orbital absence d'air gravé sur les silhouettes des traversants, captant capté par l'instant insensé du ciel entoilé ; des fauteuils empire flotte sur ces eaux qui transportent les états d’âmes, qui montent avec le cosmos a la surface des lignes de flottaison; avant et après, nulle part, partout l’éternité; ici, la mer indicible, la faillite de la langue ; petite langue lécheuses de chatte ; ici on ne peut perdre davantage que l’éternité ; et puis ce livre sur l’accoudoir ou éternité est devenu un verbe, Eterniter, l'ancienne dépouille du zèbre mal rasé cours encore dans les airs de la soute a bagage avec deux ou trois autres mots rares abattus au cours d'un safari royal a la bombe a désodoriser; fin de siècle pour eux ; fin de règne d'un esprit qui perd les mots comme les dents, souffre des dents de lait comme un enfant ou des douleur de l'extraction des dents de sagesse ; ne reste d'eux au couloir que leur emprunte carbonée ; la digitale carlingue du toucher en cascade sur la bouche du jet touchant les six lanciers; c'est bien cela le temps, l'ordonné, quand j'entends chanter l'aube des chardonnerets sub-atomique dans l'unique premier jour de la molle blanche de ses os dorés.

 

Des entrelacs de la dingue.

 

photo 2.JPG

Le caviar du premier jour quitta les appartements funèbres de la pyramide sacré; indirectement elle resta vide de représentation et de l’être a rien moins qu'inventer ; son esprit remonta les longs boyaux de pierre taillées a la lueur des flammes croisées ; et les quelques joies du filons entrevue pendant la fuite, il les sema en route, ou elles allaient toujours grandissante derrières ses pas, s’élargissant de jour en jour, gagnant le temps a la transparence des appartements décloisonnées de la terreur des apparences ou l'on écrase comme un cigare dans l'ombre des faunes de cendriers ; le disjoncteur ronfle dans la boite électrique; il empêche l'alternateur de saccader, maintient le flux de l'attention sur la matière atomisé de sa représentation; elle lui échappe, il croit qu'il s'en libère, hésite, la rattrape en coup de vent, elle se fait chair, se paie sa gueule, et s’achète par le sacrifice de ce qui né des reliefs du fleuve un vêtement pour vêtir l'absence d’être; l'esquisse d'un cheval ou d'un pin chevauchant la mort est un présage imminent avec la proximité du message enfermé dans son ultime comprendre ; parfois il redouble de tension, sans que jamais l'homme de bien ne désire pas même paraître bon ; car de toute façon il ressemblerait a un gros ressort vibrionnant, un empilement de vue de coupe, un hamburger macdo, un éclat de rire soufflant l’horreur au risque de l’attiser.

 

photo 1.JPG

 

 

Le volatilisé hier migra en taille organiquement dimensionnée au deux mains du présent; et le silence borna la lutte dans la bouche des destinations ; un repas chez Joe ou on mange de l'ange braisé a la langue de porcs a tous heurts ; viande vidangé la jour même par le boucher ami, qui débite l'artificieuse nuée de rond de cuirs en cavales, en écoutant la radio soupçonnant les nuages de parler pendant les nuits d'aurore atomique ravalant la gloire lunaire du tube cathodique de matière noire.

 

Traces a 4 ans.

 

photo 3.JPG

 

Le parking du lavis, est un black-jack qui roule les véhicules métaphysique dans la poussière du voile sacré ; éteins le moteur fume encore un saint de glace sur le parvis moquetté de la transe qui n'est pas blindée, loin de la, mais transparence aux apparences, tranche d'espaces riemannien de l’hôte bleue ; la sensibilité égarée rugie comme un météore de feu précipitant l’éther fossile de l’indéterminé ; les murs couverts de mousses gondolent d'angoisse roulée en tranche de vie, selon les vue de coupe de l'implosion organique d’où s’échappe des sous papes le souffle incolore de la conflagration du vide carboné ; la lueur des calcinés abreuvent de larmes les germes du souffre ; un corps prend forme, au places du transport hallucinée, le car boule de sel roulant au pli de l'avenir, la pierre sans regret du pixel au bout du clavier ; d’amères notes tombent des romans ; elles sont des lustre somptueusement ébréchés, des liserées moussu qu'agitent de grandes lianes ; et, la ou la mer éventre ses galets, les pâtés de maison se recouvrent de gréve ; les cloisons enfle comme si elle contenaient les quarante jours ou il parlèrent des choses de dieu ; des qualités premières et dernières des êtres et de celles qui leur est commune ; la demeure s'effilocha dans le temps ou le corps habite le foyer de la méditation, et disparaît ; ils fermèrent les volets sur la disparition du corps qui aurait scandalisé la multitude; et les murs ne revinrent que comme des voiles de pudeurs qui modelaient les distances incalculable dans l'espace et le temps des aimants ; un sifflet enroule son grand corps moulé autour des tribulations soufflée par monts et par vaux, et, a la fin, pousse un cri de bois; les murs vagissant du voyeurisme expirent le dernier souffle de la croyance spontanée en la vision des êtres, tout s'effondre, et l’œil s'incurve dangereusement sous l'implosion de la désillusion, qui lui reste coincé comme une arête dans la gorge que seul le rire peut déloger ; car ici disait la femme du médecin, la demeure est propre et sans poussière sous le tapis.

 

08/01/2015

Mal et diction

 

macbethwelleswitches.jpg

L'humour éprouve l’illégitime croyance qui veut tuer l'esprit, il peut la délivrer d’elle-même, mais une fois le mal accomplit, il ne l’absous pas.

La révolution divine leur survivra , car il ne peuvent changer en eux l'humour en piété ; il faut dire que c'est pas facile, de transformer la volonté de tuer qui peut exprimer avec passion une certitude éternelle infondée en amour; fair is foul and foul is fair ; les chiens errent dans Paris, comme des démons, des remous montés sur pattes, de la réalité dont il ont séquestré le Nom ; ce ne sont pas des silhouettes, mais des non-lieu du langage, des muets événements nihiliste grouillant comme des tache sombre a la surface solaire de l’équateur Merlin ; massacre TV est sur place, le dispositif pour l'extermination totale est prêt, la camera se met a tourner, moteur : silence, le monde peut commencer et la catharsis qui se met a danser, frappe d'un uppercut la contre-plongée du lien humain réfléchie, éprouvé depuis des millénaires comme un équilibre des points de vue forcement répartie dans les différentes demeures de la cohabitation des esprits, temporairement divisé sur les faits (les apôtres se seraient certainement entre-tués s'il avaient du se mettre d'accord sur certains point historique plus approximatifs que d'autre, du ministère de Jésus ; et on comprend que certains cœurs étroits soient scandalisés du fait de devoir comprendre l'absolu a travers des outils aussi relatif, mais on est désolé pour eux, on ne peut pas faire autrement que traduire l'absolu a travers son contraire ; ne pas pouvoir transcender la lettre par l'esprit c'est la même chose que passer a coté de l'esprit, de Dieu; c'est ainsi, et qui ne peut le comprendre, est ni plus ni moins que le frère des autres, et ensemble, digne de l’éthique et digne du religieux dont l'essentiel est de rendre grâce et de bénir ; Un homme descend de Jérusalem à Jéricho. Des bandits l'attaquent. Ils lui prennent ses vêtements, ils le frappent et ils s'en vont en le laissant à moitié mort ; ces sphères lui seront éternellement fermé parce que son cœur manque de réalité; ses racines pourtant, plongent dans la nuit in-sondée du désespoir de la raison, mais la sève qui en remonte n'est encore qu'un regard scellé par la lettre qu'ils chevauchent sans esprit et qui peut-etre, a leur grande confusion, circule en eux comme un poison qui les envahit; ils veulent Abraham pour Père... mais ou est le bélier ? Et le corps propre du désir en guerre ou il y a bien aussi quelque chose a flinguer sous les yeux de l'enfant; sans l'ordinaire miracle surgit du fourré, pas de réalité... pourtant pas d’être sans esprit ; leur acte qui se veut un sacrifice n'ajoute aucune sur-lueur a la réalité ; le linceul est leur aura ; l'ombre de ceux qui vivent sous la domination de la peur ; parce qu'il faut juste être cintré au dernier degrés pour jeter sur une femme le regard soit disant lucide, sur un être dégradé, ou inférieur et second... mais cette tension spirituelle de la terreur est la seule forme de l'extase spirituelle qu'ils connaissent ; tout chez eux respire le même moule d'effroi sans horizon ; leur vêtements, leur couleur, noire de préférence, leur manière de se déplacer, de repeindre leur intérieur, de se restreindre a la violence des geste imprégnant leur façon de mainate récitant la curée; tout est plaqué sur le modèle de la torsion angoissée ; heureusement nous on a eux le baroque pour donner une forme spirituelle a cette pulsion a la fois archaïque et très eidétiquement régionalisée, qui une fois marginalisée politiquement, sont refoulé au détriment de tous, et de la démocratie en premier; ils sont la pour se protéger d'une menace, d'un oubli qui est déjà en eux, déjà sur eux comme un danger qui les a déjà entièrement dévoré sans qu'il s'en rendent compte un seul instant (pas même le dernier de Macbeth ; Ô dieu tout puissant, épargne moi au moins de me tromper sur toi!) ne reste que leur folie, leur passion aveugle dénué de concept, c'est a dire d’être en lui meme organiquement réfléchi, ayant existé sur cette terre, ayant bu du thé et manger du riz; ce concept de transparence dont on peut bien comprendre qu'il puisse nous rendre fou, surtout s'il s'agit de poncer la lentille au fond du gouffre ou l'on ne voit goutte ! Dans cette nuit épaisse plus que toute autre, l'horreur croise le rire dans un combat a mort mais intérieur; pour eux aussi, la valeur du héros est exactement déterminée par ce qu'en dit sa réputation auprès de leurs compagnons ; d'autres ressorts d'entre les pattes au moutons, pendant la nuit sans fin des barricades encore un rire, puis un autre, comme un spasme qui chaque matin recommençait a la lecture de leur journaux ; et puis plus rien, silence radio, onde rasé de laine insoluble sur laquelle l'humour justement aurait pu travailler de tout le ressort de la porosité lucide; le fou n’était il pas directement le protégé privilégié du roi ? bien sur cela signifiait plus proche de sa colère, plus proche du pouvoir et de ses pièges ou se forme l'illusion d'une langue absolu de la chose, d'une langue qui peut tout, dont le roi se défie comme de lui-même par le rire pour mieux en conserver que l'esprit ; moins de lettre et plus d'esprit, plus de fruit, pulpe et noyau, aux agape de l'astre pépin renaissant de la bouche ; disparue donc le secret conservatoire sigomastique du sens malléable, l'atelier d'artiste plasticien des rides laisse par les ondes du temps qui prépare le visage a la joie, attendri les durs a cuir et réveille les avachis, établit qu'un point commun est donné a tous dans la reconnaissance de notre impuissance a maintenir le lien qui uni tous les démunie de la vérité, souffrant d'une manière ou d'une autre d'une même misère, de devoir exprimer l'absolu, le dire et le comprendre avec des signifiants résolument relatifs entre eux ; le rire nécessaire au pouvoir pour qu'il s'efface devant le sentiment d'une autre puissance, d'une impuissance de la langue a ne pouvoir mieux faire pour s’imprégner de la réalité de l'esprit que de rire qu'en détonnant la conscience de l'accord a coup d’éclats de rire; car le roi en ces temps reculés, quand encore ont appelé fou l'insensée qui disait en son cœur que seul est la grand confusion, ce roi, pieux et sage, pensait que l'humour était l'essence non de l'esprit directement, mais de la langue par laquelle il gouverné son royaume, ou, pour le bonheur de tous ceux qui croyait en Sa volonté, pensée et sensibilité se mêlaient absolument.

 

macbeth-2.jpg

C’était le royaume des existants, ou l'esprit, siècle après siècles avait prit du poids dans la densité d'archive planante de la lucidité, et n’était plus la rumeur chétive, apeurée et folle de sa peur déboulant des corridors humanitaire d'un moyen orient.